jeudi 10 mai 2007

Pedro se rebiffe ...

Syndrome Gilles de la Rotule, Woolfy reprend des croquettes
Réponse à l’article « Pierre Malsain »
"Aujourd’hui, les progrès de la technologie offrent une vaste palette d’outils de communication. Hélas, ceux-ci tombent trop souvent entre les mains malveillantes d’hémiplégiques de la plume, pour qui le mot « éthique » n’est qu’un concept lointain que l’on aime à oublier. Aussi, le journaliste moderne se doit de tenir des propos mesurés, dénués de contenu, dans des médias aseptisés à la botte d’intérêts politico-financiers. Cette frustration accumulée, confère au journaliste revanchard, un excès d’agressivité dont il libère des fumeroles noirâtres dans des médias non contrôlés tels que les blogs. Ainsi, moi, Pierre Toussaint, je fus victime récemment de l’un des ces journalistes furibonds dont je terrerais le nom afin de ne pas sortir cet individu, empreint de haine, de l’anonymat légitime dans lequel il végète. Ce gribouillard de torchons me reproche donc, d’avoir consommé un produit interdit par les règlements de la Fédération Française d’Athéisme…tisme…thlisme. Bref, de footing. Ceci, afin d’augmenter mes performances, jusqu’alors cantonnées au Parc Lacroix-Laval (le tour en 19’20s, 2 tours en 40’05s…qui dit mieux ?).
Je m’inscris en faux. Certes, entre juillet 2003 et septembre 2004, je fus amené à côtoyer des paquets de 20 Croustibats de façon régulière. Mais, je tiens à préciser qu’il me fut impossible d’en consommer le moindre spécimen. En effet, mon co-locataire et néanmoins ami à l’époque, celui-la même qui porte ces accusations à la Fabrice Burgaud, interceptait de volée, après avoir couru comme un canard sans tête lors du match de charité hebdomadaire en faveur des unijambistes de l’Etoile Rouge de Lyon, le fameux étui de croustibats. C’est ce révisionniste de l’histoire du 84, rue Jaboulay, ce Philippe Delaye de Pacotille, qui fut l’unique consommateur de ces croquettes de poissons élevés aux farines animales. Je précise aussi, qu’un individu normalement constitué aurait alors, accompagné trois ou quatre bâtonnets d’un peu de riz ou de verdure. Hors, ce Paul Bocuse en « toc » engloutissait en une seule fois et avec frénésie, la totalité des ces lingots des mers tout juste décongelés, sans le moindre accompagnement. Il s’adjugeait, ainsi, le monopole sur la consommation de croustibats. Pourquoi, un tel comportement ? Sans doute pour assouvir son besoin d’endorphines, chaque jour croissant. Ces molécules, très présentes dans le colin, lui faisaient oublier sa vieille douleur au genou engendrée par des « cost to cost » et autres dribles chaloupés sur les play-grounds de l’ouest lyonnais. Mais il y avait des réactions secondaires à ce génocide piscicole. Ainsi, il acquit la faculté de « ronquer comme un sale », notamment sur les canapés, encore chaussé des ses crampons riches en gore et autres terres footbalistiques, à snober non pas un, ni deux, ni même trois réveils simultanés, mais bien quatre sources sonores et criardes que même Beethoven aurait fini par entendre sur son lit de mort. Cette consommation sans retenue, le plongea à deux doigts de Passe Partout, d’une défaite en finale de la coupe de l’ISCPA, puisqu’il fut sorti d’un coma de deux semestres, l’avant-veille de la date fatidique du rendu des mémoires, par un subtile lancer de trois carapaces rouges qu’il reçu dans l’arrière-train.
Car voilà, nous y sommes. Ce comportement diffamatoire n’a d’autres sources que la jalousie. Celle emmagasinée tout au long des défaites à Luigi Race. N’ayant jamais admis mon éclatante supériorité, il fit culminer sa rancœur et sa mauvaise foi par sa désormais fameuse réplique : « C’est d’la triche ». Réplique que l’on entend que très rarement dans la bouche d’un enfant post-pubère de plus de 12 ans. Ajoutez à cela, un problème chronique à gérer ses tours de Parc Lacroix-Laval dans ses tentatives infructueuses de finir devant Pierre Kipketer et vous aurez compris les raisons sournoises de cet article mensonger et délibérément accusateur."
Pedro Toussinte

1 commentaire:

Anonyme a dit…

mdr, vraiment!
quelle prose!

continue de me (nous?) faire marrer, moustachu!

Guiom